Notre Saint Patron

« Mes amis seront Jésus et Marie »

Pour tester le petit Savio, Jean Bosco lui donne une page à apprendre pour le lendemain. Mais, alors que la conversion se poursuit avec le papa, Dominique revient bientôt et récite, sans se tromper, la page apprise. Le dialogue qui  suit est resté dans les annales :

  • Très bien, tu as devancé l’étude de ta leçon… A moi de devancer ma réponse. Oui, je t’emmène à Turin. Je pense qu’il y a en toi de la belle étoffe.
  • Etoffe ? A quoi peut-elle servir ?
  • A faire un bel habit pour le Seigneur.
  • Je suis donc l’étoffe et vous le tailleur ! »

A partir de ce jour, le jeune Dominique fait entièrement confiance à son éducateur qui lui fait découvrir comment devenir un saint, de façon très simple. Suivent trois années d’études sérieuses, d’amitié, d’amour des autres et d’entraide où le garçon devient l’âme de la maison. Trois années de croissance spirituelle dans la joie !

Mais la maladie frappe Dominique. Il meurt dans la fleur de l’âge, à 15 ans, le 9 mars 1857. L’Eglise a proclamé sa sainteté en 1954.

Pourquoi choisir Saint Dominique Savio comme modèle ?

Saint Dominique Savio a vécu une vie toute ordinaire de façon extraordinaire. Tellement, que Don Bosco, son maître et son guide, a tenu à rédiger lui-même le récit de cette trop brève existence ; il voulait ainsi le proposer comme modèle à ses jeunes et à tous les jeunes du monde. 

Source 

"Je ne suis pas seul, j'ai Dieu avec moi "

Saint Dominique Savio

Prière à Saint Dominique Savio

Saint Dominique,
tu as réalisé à 15 ans le rêve qui m’attire :
être un homme et être un saint !
Sur les routes du monde qui s’ouvrent devant moi,
sois mon fidèle compagnon.
Apprends-moi que la grande aventure à courir
est d’abord celle de mon âme
à rendre chaque jour plus claire ;
et que l’héroïsme le plus vrai
est de préférer au péché, la mort.
Rends-moi attentif à la souffrance des autres,
à la détresse du monde qui attend mes bras.
Donne-moi ton élan pour travailler à construire,
dans le règne du Christ,
une cité enfin fraternelle.
Et qu’aux sources vives de la prière et des sacrements, mon amour pour Dieu notre Père,
pour Notre-Dame, Marie,
s’accroisse et embrase ma vie entière. 
Ainsi soit-il